Non à la montée de l'extrême gauche dans la Creuse !
Chers Creusois, Chères Creusoises,
Depuis plusieurs années, notre département est confronté à la montée de l’extrême-gauche. Ce mouvement, d’abord apparu dans le sud de la Creuse, s’étend progressivement à l’ensemble du territoire ayant même été jusqu'à faire élire Catherine Couturier. Leur objectif est de nous imposer leur mode de vie et de transformer la Creuse. Aujourd’hui, j'ai trouvé le moyen d'agir et j'ai besoin de vous pour résister face à cette menace grandissante.
Les faits : l'épicentre de la montée de l'extrême gauche dans notre département.
Connaissez-vous le lac du Chammet, situé sur la commune de Faux-la-Montagne ? Ce site, autrefois un centre de vacances pour les salariés du groupe ENEDIS, a été abandonné au début des années 2000. Bien qu’il soit toujours la propriété du comité d’entreprise d’Enedis, le lieu a été laissé à l’abandon.
Les infrastructures, comme les bungalows, la piscine et les terrains de sport, ont été dégradées au fil des années, transformant cet endroit en terrain idéal pour l’installation de ce que l’on pourrait appeler une ZAD. C’est effectivement ce qui s’est passé en 2018, lorsque des individus s’y sont installés. Le journal La Montagne rapportait d'ailleurs en juin dernier que « ce groupe a fait appel au CIAPV en 2019 pour commander une œuvre interrogeant la reprise de lieux de civilisation par de nouvelles formes de vie ». Des raves y sont également organisées.
Ce qui pourrait prêter à sourire est en réalité extrêmement grave. La notoriété de cette zone attire de plus en plus de militants de l’ultra-gauche dans notre département, créant un climat d’inquiétude pour des Creusois qui n’ont rien demandé. Je pense notamment à nos agriculteurs du sud de la Creuse qui subissent de plein fouet la montée de l'extrême gauche à côté de chez eux. Certains habitants en viennent à installer des caméras chez eux, craignant des squats, sachant qu’ils n’ont que 48 heures pour réagir et demander leur expulsion. Pire encore, cette zone sert de refuge pour des individus ayant participé à des manifestations violentes, telles que celles de Sainte-Soline, attirant ainsi des personnalités dangereuses dans notre département.
Face à cette situation, comment agir ?
Pourquoi ces personnes ne sont-elles pas expulsées ? Après enquête, nous avons découvert que le comité d’entreprise d’Enedis n’a jamais formellement demandé l’expulsion des occupants du site. Sans cette demande, les forces de l’ordre et l’État ne peuvent intervenir. Il est donc crucial que nous fassions pression sur le comité d’entreprise d’Enedis pour qu’il exige cette expulsion !
C’est pourquoi je vous invite à signer la pétition ci-dessous, qui vise à pousser le CE d’Enedis à agir. Cette pétition sera ouverte durant 45 jours, au terme desquels je la remettrai personnellement au comité d’entreprise d’Enedis, à l’entreprise elle-même, ainsi qu’au ministre de l’Intérieur.
Nous ne devons pas rester passifs face à cette situation. Nous avons le pouvoir d’agir. J’ai besoin de votre soutien. Signez la pétition et partagez-la largement autour de vous.
Ensemble, nous pouvons agir pour que la Creuse reste la Creuse !
Bien fidèlement,
Bartolomé Lenoir